[Sabir islamo-gauchiste] – « Féminicide » : Oui, mais seulement si ce n’est PAS un islamiste ou un antisémite !

Les féministes nous rebattent les oreilles avec les « féminicides » qui soi-disant seraient en augmentation, notamment en ces temps de confinement (alors qu’en réalité, il n’en est rien : Mais où sont donc passées les violences conjugales liées au confinement?).

La définition féministe du « féminicide » n’a pour autant aucun sens, que ce soit d’un point de vue juridique, philosophique ou même philologique, comme on va le voir ci-après.

Il apparaît aussi de plus en plus clairement que l’emploi de ce terme répond à quelques critères bien particuliers. Selon la définition (comme toujours spécieuse et anti-scientifique) des féministes, le « féminicide » concernerait les femmes tuées par les hommes « en raison de leur genre ». Définition qui oublie délibérément le cas des femmes tuées par d’autres femmes, que ce soit dans un coupe lesbien ou dans la vie courante. Dans ce cas, jamais la femme tuée par une femme n’obtient le titre de « féminicide ». Que ce soit dans ce cas : « Triangle amoureux fatal : une femme policière tue sa rivale aux Etats-Unis » (2021), dans celui-ci : « Vingt ans requis contre celle qui avait tué sa rivale amoureuse » (2015) ou celui-ci : « Elle tue sa rivale par jalousie » (2004), jamais, au grand jamais, le terme de « féminicide » n’est employé. Pourtant, si ces victimes avaient été des hommes, il est loin d’être certain que la femme trompée soit passée à l’acte… Il en va de même pour les couples lesbiens : « Montauban : une femme tue sa compagne d’un coup de couteau » (2020). Seul Valeurs Actuelles ose rappeler leur vocabulaire aux féministes, avec les guillemets requis : “Féminicide” à Montauban : le bourreau était une femme ».

  • Mais une femme tuée par un homme ne fait pas forcément un « féminicide » non plus…

Même si la femme est tuée par un homme (le cas de figure sur lequel les féministes font pourtant leur beurre), être une femme ne suffit cependant pas à qualifier le « féminicide ». C’est que, pour les guérilleras du genre, il faut que le meurtre réponde avant tout à un critère islamo-gauchiste bien précis : le meurtrier doit être un homme, certes, mais de préférence un homme blanc et occidental – en aucun cas un homme « racisé », musulman et surtout pas un islamiste !

La sinistre Crêpe Georgette semble me donner raison à travers ce tweet, suite à l’assassinat abominable de Chahinez, brûlée vive en pleine rue à Mérignac par son ex-mari : seul l’homme blanc est un féminicideur, surtout pas le racisé qui doit être protégé à tout prix de cette marque d’infâmie ! Comment peut-on se coucher plus lamentablement devant la barbarie d’importation ?

6 main 2021
  • Sarah Halimi n’était-elle pas une femme ? N’a-t-elle pas été tuée par un homme qui a lâchement profité de son infériorité physique ?

Pourtant, pas une seule fois, le terme de « féminicide » n’a été utilisé par les néo-féministes pour qualifier l’assassinat monstrueux de Sarah Halimi. Aucune féministe ne s’est fatiguée à tartiner de ses collages sauvages (avec leur sabir ridicule et leurs points au milieu) les murs de nos villes. L’assassin de Sarah n’était-il pas un « mec cis-genre » ? Se serait-il outé sans qu’on le sache comme un LGBT ou un transgenre bon teint ? Que non point : on a parfaitement compris que le critère pour commettre un « féminicide » était prioritairement de ne pas être une racaille antisémite ou islamiste.

Il n’y a de toutes façons pas eu beaucoup de commentaires sur l’affaire Halimi de la part des gauchistes féministes (les habituelles Autain, de Haas et consorts), sans doute trop occupées qu’elles sont à flatter leur électorat islamique et antisémite pour trouver un peu de temps pour réfléchir au vocabulaire qu’elles emploient ordinairement à longueur de tweets.

  • 23 avril 2021 : la policière égorgée à Rambouillet par un islamiste n’était-elle pas elle aussi une femme sans défense ?

On pourrait égrener sans fin les exemples. On cherche aujourd’hui encore le qualificatif de « féminicide » pour parler de l’assassinat sauvage de la malheureuse Stéphanie, dans le sas du commissariat de Rambouillet, alors qu’elle n’était même pas armée.

Les mêmes islamo-gauchistes pèsent leurs mots et tournent autour du pot avec des pudeurs de gazelle, comme dirait leur Lider Maximo Mélenchon. On aura beau chercher le mot « féminicide » ou la moindre condamnation du terrorisme islamique dans le tweet hypocrite de Clémentine Autain, aucun risque évidemment de les trouver :

Clémentine Autain, 23 avril 2021

Pas besoin d’un dessin pour comprendre pourquoi son « émotion » est à géométrie variable. Il en va de même pour les islamo-gauchistes de Médiapart qui ont soupesé leurs mots de la même manière, allant jusqu’à lancer des insinuations indignes :

Le chapeau de Médiapart ne passe pas auprès des policiers et d’une majorité de français.

Il faut bien les comprendre : les collabos de la révolution salafiste et du féminisme islamique ne vont quand même pas se mettre à accabler leur co-religionnaires ou les assaisonner avec leur charabia féministe : seul l’homme blanc, c’est bien connu, seul le non islamiste, seul l’occidental, commettent des « féminicides » – certainement pas leurs petits protégés !

Et encore une fois, peu importe que ce soit une femme tuée par un homme. Le féminisme qui prétend défendre « toutes les femmes » a tout de même ses limites : si c’est une juive, une policière, une femme de droite ou qui sais-je qui ne fait pas partie de leur camp idéologique, il ne faut pas s’attendre à ce que leur fausse contrition aille jusqu’à les inclure dans leurs pourtant si virulentes condamnations des hommes dans leur ensemble.

  • En réalité, le « féminicide » n’existe pas – pas plus dans le cadre d’un attentat islamiste que d’un crime conjugal

Depuis le début de cet article, je mets à dessein des guillemets au mot « féminicide ». Je l’ai uniquement employé pour relever que celles qui n’ont que ce vocabulaire à la bouche toute l’année en perdent subitement leur goulée quand elles se retrouvent face à leur déni, c’est-à-dire leur totale soumission à la racaille islamique et/ou antisémite.

Il va de soi que le terme de « féminicide » (« le meurtre d’une femme en raison de son genre ») est tout aussi impropre dans le cas du terrorisme islamique que dans les autres cas auxquels les féministes entendent l’appliquer. En droit, le meurtre d’une femme s’appelle un homicide, puisque la racine latine homo renvoie au genre humain, lequel comprend évidemment les deux sexes. De plus, ce n’est pas du tout « en raison de leur genre » que ces femmes sont tuées.

J’ai été heureuse d’entendre la psychologue Hélène Romano dénoncer elle aussi ce terme l’autre jour sur BFMTV, au sujet de l’assassinat d’Aurélie Vaquier par son compagnon. Elle a relevé les limites du terme « féminicide » et sa volonté de rabattre toute explication du crime conjugal par le biais erroné du « genre » : c’est beaucoup trop réducteur et cela ne permet absolument pas de comprendre les véritables tenants et aboutissants de ce crime particulier. Je mets ci-dessous le passage précis où elle conteste à raison le terme de « féminicide » :

Interview d’Hélène Romano sur BFMTV le 7 avril 2021
  • Retour à l’école primaire. En français, le mot « femme » signifie deux choses différentes : « personne de sexe féminin » et « épouse ou compagne »

Mais les féministes continuent de confondre hypocritement les deux. Elles emploient le terme de « féminicide » pour qualifier le meurtre d’une femme par son mari ou compagnon en faisant croire qu’il la tuerait uniquement parce qu’elle serait une personne de sexe féminin et qu’il s’agirait d’un crime sexiste et misogyne. Dans le même temps, quand une femme est lâchement assassinée entre autres parce qu’elle est une femme, c’est-à-dire parce qu’elle est en infériorité musculaire ou incapable de se défendre à armes égales – comme dans le cas de la vieille dame Sarah Halimi ou de la policière de Rambouillet –, les féministes oublient subitement d’utiliser leur vocabulaire idéologique. Un crime antisémite ou salafiste ne génère jamais leur compassion « sororale », même si l’assassin a choisi une femme sans défense. Elles démontrent par là-même que leur « féminicide » ne concerne aucunement toute femme, comme elles le prétendent– surtout si celle-ci est tuée par un de leurs compagnons de route –, mais uniquement les épouses.

  • Le meurtre d’une femme par son mari ou son compagnon devrait s’appeler un uxoricide et non pas un féminicide

Du latin uxor : épouse. Les féministes le savent bien d’ailleurs, puisqu’elles n’appliquent ce terme qu’aux crimes conjugaux… mais ce serait beaucoup moins pratique pour accabler l’homme blanc ou le genre masculin en général, n’est-il pas ?

On a bien compris de ce qui précède que l’homme visé par les féministes ne tue pas n’importe quelle femme sous prétexte qu’elle serait une femme, mais parce qu’elle est SA femme – son épouse ou compagne, et qu’elle projette ou vient de le quitter. C’est donc très clairement un crime de la relation, et certainement pas un crime sexiste ou misogyne, puisque les femmes se tuent entre elles, et les hommes aussi, pour les mêmes raisons.

Le meurtre conjugal N’EST PAS UN CRIME GENRÉ, mais les féministes continuent de confondre à dessein les deux acceptions du mot « femme » afin de mieux propager leur idéologie haineuse et misandre – car il n’y a pas plus sexiste que la néo-féministe. Mais au moins, avec ces affaires d’assassinats abjects, leurs contradictions – et leurs véritables soumissions – apparaissent au grand jour.

« Un dernier exemple concerne le féminicide. Le fait de l’avoir élevé au rang de symbole de la domination masculine et de le percevoir comme la forme paradigmatique des violences conjugales détourne l’attention de facteurs pourtant très spécifiques qui le caractérisent, comme le fait que son premier mode opératoire soit l’arme à feu (ce qui pose des questions relatives au suivi des ports d’arme) ou la présence récurrente de troubles de la personnalité chez le criminel (ce qui soulève des enjeux de santé mentale)[9]. Notons également que dans plus d’un tiers des cas de féminicide, le meurtre n’est pas précédé par des violences conjugales antérieures[10], ce qui montre le caractère parfois impulsif et difficilement prévisible du passage à l’acte. »

Le gloubi-boulga féministe habituel empêche donc de l’appréhender correctement.

  • Ajoutons pour finir que les seuls cas véritables de féminicides seraient les infanticides de filles régulièrement pratiqués en Inde ou en Chine par exemple (bébés qui sont tués uniquement parce qu’ils sont de sexe féminin). Comme on le voit sur cette gravure chinoise du XIXe siècle, ce sont les femmes qui pratiquent la noyade des bébés filles. On sait également que d’une manière générale, partout sur terre et depuis toujours, les principales auteurs des infanticides sont des femmes. Raison pour laquelle il ne faut pas s’attendre à ce que les féministes utilisent ce terme et reconnaissent que les responsables des authentiques féminicides sont habituellement des femmes.
Femmes commettant un féminicide.
Tract chinois contre l’infanticide des filles, vers 1800.

[à suivre…]

  • Voir aussi :

Sur le combat commun féminisme/islamisme :

Sur l’emploi erroné du mot « féminicide »:

. Sur le terme « féminicide » :

Anne-Marie Le Pourhiet : « Le terme de ‘’féminicide’’ contrevient à l’universalisme du droit français ».

Comment le mot « féminicide » nous est imposé

8 réponses sur “[Sabir islamo-gauchiste] – « Féminicide » : Oui, mais seulement si ce n’est PAS un islamiste ou un antisémite !”

  1. La priorité des féministes n’est pas d’aider les femmes. Si elles se souciaient du sort de celles qui sont victimes d’homicides, elles n’emploieraient pas le terme « féminicide » comme elles le font. Votre article le montre clairement.

    On peut tenir le même raisonnement à propos des violences conjugales. L’analyse féministe est inexacte. Le « patriarcat » n’est pas l’explication universelle de ces violences essentiellement symétriques (on le sait depuis les années 80 et les travaux de Murray Straus et Suzanne Steinmetz). Cette analyse erronée, fondée sur une cause unique empêche par exemple la mise en place d’une prévention efficace et nuit donc aux victimes.

    De la même façon, faire croire aux femmes qu’elles sont plus en danger que les hommes dans l’espace public ne les aide en rien. Les femmes se font moins agresser que les hommes dans l’espace public, y compris pour ce qui est des violences sexuelles. Leur faire croire le contraire ne fait qu’exacerber leur sentiment d’insécurité.

    Pour en revenir aux « féminicides », si j’étais une femme je m’inquiéterais de l’exploitation qui en est faite. Je crains que tôt ou tard les féministes n’obtiennent que l’homicide d’une femme soit plus sévèrement puni que celui d’un homme.
    Lorsqu’une partie de la population décrète que sa vie vaut plus que celles des autres, ça se termine généralement assez mal. Les colonies se sont achevées par la fuite, le moyen âge par la guillotine, etc.

  2. Bonjour,
    Connaissez vous le collectif Némésis ?
    Ce sont des féministes identitaires et patriotes dont le cheval de bataille est la mise en lumière de la surreprésentation des immigrés dans les actes de violences sexuelles…elles se présentent comme féministes de droite et sont plus rationnelles, lucides que les autres féministes. De plus, elles ne sont pas féministes. Toutefois, Oselnef, le youtubeur MGTOW qui fait un boulot assez remarquable, les juge sévèrement et estime qu’elles restent avant tout des féministes, donc misandres puisqu’elles participeraient à l’invisibilisation des victimes masculines de violences sexuelles ainsi que des agresseurs femmes. Il estime ainsi qu’elles ne diffèrent guère du logiciel habituel en parlant surtout des hommes extra européens sans parler des femmes extra européennes. Il conclue en disant que le féminisme de droite ne peut exister. Qu’en pensez vous ? Êtes vous d’accord avec lui ? Quel est votre avis sur ce fameux «féminisme de droite»? Un article de votre part serait très intéressant !
    Merci par avance

    1. Bonjour, Oui, je les ai repérées depuis leur création. J’aurais tendance à penser comme OsAlnef (je n’ai pas vu sa vidéo mais je vais aller voir ça) : ce sont des féministes comme les autres sinon qu’elles sont effectivement plus lucides et plus courageuses – car elles se ramassent quand même pas mal de seaux de purin sur la tête pour avoir le courage de nommer une réalité qui n’échappe à personne, à part aux gauchistes, bien sûr. J’apprécie qu’elles existent ; elles apportent une bouffée d’air frais et elles osent publiquement contredire la secte féministe toute-puissante. Je ne pense pas qu’elles remettent en question le patriarcat, même occidental, ni qu’elles sortent vraiment de l’idéologie de la victimisation universelle de la Fââme – mais elles ont déjà fait un bout de chemin et je n’exclus pas qu’elles évoluent un jour sur ce point. Je les regarde donc évoluer d’un bon oeil pour l’instant et j’étais assez contente de lire l’autre jour qu’elles assumaient d’être féminines et de soigner leur look (donc de n’être pas en guerre contre le « male gaze »). Je vais chercher la vidéo d’OsAlnef.

  3. #noustoutes, sur leur FB, ont ajouté l’assassinat de la jeune Alisha à Argenteuil à leur compteur de féminicides. Désespérant.

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