De l’art ou du cochon
Réponse au révisionnisme féministe consistant à s’en prendre à la représentation des nus féminins dans l’art.

Cette série de chroniques, écrites à partir de février 2018, donnera lieu par la suite à une synthèse. Elles permettent dans un premier temps de prendre la mesure des fixations féministes pour tout ce qui touche au désir hétérosexuel, à l’érotisme, à la sexualité, à l’amour ou à la violence entre les sexes dans l’art.
. En ligne :
. C’est l’affaire du décrochage du Waterhouse (Hylas et les nymphes) à la Manchester Art Gallery, fin janvier 2018, qui a initié cette série de chroniques. Retour sur cet épisode emblématique des obsessions et erreurs de jugement néo-féministes :
. Les féministes ont toujours eu un rapport névrotique à l’histoire de l’art. Petit tour d’horizon de leurs dernières crispations iconophobes :
. Les féministes s’indignent que le corps féminin soit érotisé dans la peinture. Mais cela a pu être peint pour des femmes, ou par des femmes :
. Les féministes s’indignent que le corps dénudé et érotisé des femmes soit représenté dans la peinture. Mais cela peut-être une demande expresse de la commanditaire elle-même. Et le peintre peut aussi être une femme. Deux autres exemples du XVIIe siècle :
. Les féministes pensent qu’une femme dénudée au milieu d’hommes vêtus est une victime sans défense du patriarcat. Victorine Meurent (muse d’Édouard Manet) et Jennyfer Lawrence leur répondent :
. Article de fond en préparation :
Les nus féminins dans l’art – Paranoïa victimaire et surinterprétations féministes