Venant tout juste de revenir sur X/ex-Twitter après deux ou trois ans d’absence – maintenant que l’air y est plus respirable et que l’appli pour demeurés HelloQuitteX a incité les plus crasseux à aller s’agglutiner sur BlueSky, le « réseau des losers », comme on dit sur X –, je me fais happer d’emblée, passablement interloquée, par l’incroyable drama qui oppose depuis 26 mois (!) Acermendax (le fameux Thomas Durand, de la non moins fameuse Tronche en Biais) à deux féminhystériques de compétition internationale – des caricatures plus vraies que nature des pires travers néoféministes que je croque depuis près de 10 ans maintenant sur ce site.
J’ai longtemps hésité à publier sur ce sujet pour deux raisons principales. La première était de ne pas rajouter une couche de tourments aux deux impétrantes, Marie Peltier et Stéphanie Lamy, qui se montrent depuis le début incapables de gérer la moindre contrariété, la moindre offense, la moindre critique, montant systématiquement dans les tours et produisant d’interminables logorrhées aussitôt que quelqu’un aborde l’affaire autrement qu’en leur tressant des lauriers. Je sais pour autant que leur souffrance n’est pas feinte et que leur vie est véritablement devenue un enfer depuis l’été 2023. Je ne suis pas insensible à ce calvaire : il se lit dans le nombre même de leurs tweets (des dizaines et des dizaines chaque jour, ce qui est en soi un indice notable de souffrance psychique). Il ne s’agissait pourtant pas d’attaques injustifiées – les critiques d’Acermendax dans cette vidéo qui a mis le feu aux poudres (« Fausse expertise chez les anti complotisme ? », 09/08/23), pouvaient parfaitement s’entendre et n’étaient en rien diffamatoires (la justice aurait fait sauter la vidéo sinon) – ; il eut été naturel d’y répondre en gardant son calme, simplement par la qualité intrinsèque de ses productions (l’étiquette « d’expert » en ceci ou cela n’étant pas si importante ; je vais y revenir). Il n’y avait donc pas de quoi se rouler par terre en hurlant à la misogynie, au masculinisme ou à l’antiféminisme comme elles le font quotidiennement depuis des mois – et raison pour laquelle je me suis finalement décidée à prendre la plume, puisqu’il se trouve que cela touche à mon propre « domaine d’expertise ».
La deuxième raison était leur passif en matière de cyberharcèlement, si j’en crois la vidéo de Yogina (« Je suis l’invisible », 19/08/23), l’actuelle compagne d’Antoine Daoust à qui elles avaient enfoncé la tête sous l’eau lors de l’affaire Fact and Furious ; ou bien le déluge de tweets visant à ruiner la réputation de Thomas Durand – 7 heures (!) d’élucubrations, ressassant et ressassant en boucle les mêmes éléments de langage (« VICTIMISATION – Marie Peltier, Stéphanie Lamy & le méta-harcèlement », 21/01/25). Je peux donc m’attendre à des palanquées de tweets me traitant moi aussi de tous les noms si par malheur elles découvrent cet article. En vérité, je ne l’écris pas pour qu’elles le lisent, et encore moins pour les convaincre (personne ne peut de toutes façons ramener à la raison des esprits aussi profondément égarés dans le féminisme mental) ; je l’écris surtout parce qu’il illustre d’une manière tellement chimiquement pure la manière dont le féminisme militant se commue trop souvent en une forme de psychose narcissique – ce que je supputais depuis longtemps –, que je ne pouvais pas ne pas saisir une aussi belle occasion de souligner combien cet épisode conforte mes hypothèses.
Ce qui m’a interloquée dans l’argumentaire des deux Miss
J’avoue être restée comme deux ronds de flan quand j’ai vu passer, repasser et re-repasser, des tweets (*) de ce type :
(*) Je parle de tweets, mais l’affaire se passe sur BlueSky. Les Bluskyers (ou plus exactement les Losers, puisqu’ils ont afflué sur cette plateforme en réaction à la déculottée de la gauche américaine et par détestation de la liberté de parole), essaient de remplacer « tweets » par « skeets ». Etant donné que je me contrefiche autant de BlueSky que des injonctions de ses colonies de gauchistes en surchauffe, je continuerai pour l’instant à parler de tweets. En voici donc quelques récents :





Etc., etc. Il en va de même avec les termes « misogyne » et « masculiniste », dégainés sans répit et assortis comme il se doit de tout le jargon comminatoire du féminisme victimaire (« patriarcat », « VSS », « boy’s club », « culture du viol », « silencier », et tutti quanti). Durand, pourtant un féministe bon teint qui ne manque jamais une occasion de prouver qu’il est un fervent thuriféraire du féminisme d’état, qui consacre quotidiennement à son dieu gauchiste de l’Égalité et des VSS (les « violences sexistes et sexuelles », gna gna gna, amen) – au point même de publier prochainement un roman très féministement intitulé Empouvoirement (🙄🙄🙄) –, se voit donc gratifier, du matin au soir, des pires stigmates de l’Église de la Vengeance Perpétuelle. Durand serait-il donc un « masculiniste réac antiféministe et misogyne », comme elles le martèlent, une de ces créatures visqueuses et terrifiantes directement vomies par les enfers ? (les féministes ont toujours beaucoup d’imagination pour conjurer leurs fantasmes sexuels ou les hommes qui les repoussent). Voilà qui serait ballot, pour un honnête chrétien, pardon, un honnête féministe… Mais reprenons depuis le début.

La vidéo d’août 2023
Bien que l’histoire soit longue et ses péripéties mouvementées, on pourrait la synthétiser de la sorte : en août 2023, Thomas Durand commet une vidéo de débunkage envers deux « fausses expertes », Marie Peltier et Stéphanie Lamy, essentiellement accusées de se faire passer dans les médias pour des spécialistes ou des enseignants-chercheurs dans des domaines où elles n’ont pas reçu de validation universitaire (*).
(*) Elles se disent « expertes en anti-complotisme », mais comme elles-mêmes croient dur comme fer au complot des hommes contre les femmes (la croyance de base des féministes antipatriarcales), elles sont de facto à ranger parmi les complotistes.
La vidéo en elle-même, si elle était assez cassante, ne constituait en rien une forme de harcèlement : elle relevait simplement de la dénonciation étayée, voire de l’attaque en règle, à l’image de ce que font nombre de « journalistes d’investigation » dans des médias tels que Libé, Le Monde ou Médiapart ou dans des livres totalement à charge, qu’ils publient toujours avec jubilation et sans le moindre état d’âme. Leurs cibles se retrouvent souvent brisées, leur réputation, leur famille et leur carrière professionnelle ruinées, sans que cela émeuve outre mesure nos féministes de service. Il faut dire que cela concerne habituellement des hommes ; aussi, ils peuvent bien crever, elles en jouiront de toutes façons. Il en va de même pour toutes les autres cibles de Thomas Durand (Psyhodelik, Frédéric Delavier, Idriss Aberkane, Didier Raoult, Jacques Grimault et tant d’autres), envers qui les attaques ont été d’une violence sans commune mesure – Durand le reconnaît lui-même. Eux n’ont pourtant jamais hurlé à l’anti-masculinisme ou à la misandrie ! Il a donc été évident pour moi, à la vue de cette vidéo, que la réaction de nos deux féministes a été aussi disproportionnée que contre-productive.
Suite à cette vidéo et à leur réaction inadaptée, les choses se sont enflammées et il semble avéré (je n’étais pas sur les RS pour le constater) qu’elles ont subi un harcèlement en règle, ce que Durand reconnaît également ; le problème étant que leur positionnement féministe radical islamo-gauchiste (ce dont elles se revendiquent, ce n’est pas moi qui leur colle cette étiquette) les a fait déplacer le conflit sur un terrain encore plus inflammable, celui du féminisme mental (l’expression est de moi, ne cherchez pas, je vais expliquer) :


(La « terreur masculiniste », tiens donc… La seule terreur qui existe dans les faits, bien évidemment, c’est la terreur féministe, celle qui m’interdit, à moi, de sortir du pseudonymat sous peine de voir ma famille pourchassée et ma vie professionnelle détruite par des Erinnyes dans son genre – qui elles, évidemment, ont table ouverte dans les universités pour diffuser leurs mensonges. Et ça vient encore nous parler de terreur…)
Universitaire ou pas, quelle importance ?
Ce drama est d’autant plus désolant que le fond de l’affaire (la question de « l’expertise » dénoncée dans la vidéo de 2023) n’avait rien d’une condamnation irrémédiable. OK, Marie Peltier avait laissé les journalistes l’étiqueter « enseignant-chercheur », alors qu’elle était seulement « enseignante » et « chercheur indépendante »… et alors ? C’était un péché véniel, facilement amendable, il n’y avait pas de quoi faire tout ce pataquès. Des centaines d’auteurs, essayistes, experts en tous genres se sont formés sur le tas et ils sont considérés comme des références dans leurs domaines : la seule chose qui compte, c’est leur authenticité, leur talent, leur originalité. Il suffisait aux deux impétrantes de prouver leur légitimité, non par des titres universitaires, mais par leurs compétences dans leurs domaines d’expertise, par la qualité de leurs recherches et de leurs écrits, et par la reconnaissance de leur milieu. En tout cas, c’est comme cela que je réagirais si on venait me faire un procès en légitimité (*) dans le domaine de la critique du féminisme (au hasard).
(*) Dans le domaine de la critique du féminisme, il est naturellement impossible d’envisager la moindre validation universitaire. Si vous un approchez un « laboratoire » d’études de genre en expliquant que vous êtes en quête d’un directeur de thèse pour mener une recherche sur les discours fallacieux du féminisme d’extrême gauche, on sortira immédiatement les gousses d’ail en hurlant au blasphème et à l’anathème et vous serez excommunié(e) sur le champ.
Pour moi, la bonne réaction aurait simplement tenu en une formule : se remettre au travail. Prendre le temps de remettre à plat sa ligne de conduite et ses projets, d’encaisser le coup (rude, il n’y a pas débat là-dessus), puis remonter en selle une fois le temps venu – éventuellement après quelques années consacrées à la petite enfance de sa fille dans le cas de Marie Peltier, cet enfant ayant bien droit à une vie apaisée. Je n’ai donc pas compris leur réaction victimaire et narcissique, comme si une petite légèreté dans la définition de leur statut, prise en défaut publiquement – étant entendu que ce soit terriblement désagréable –, devait remettre en question l’intégralité de leurs travaux ou de leurs personnes. Ou plutôt si, j’ai vite compris que le féminisme narcissique et victimaire qui avait colonisé leurs cerveaux les avait conduites à s’enliser dans cette défense délirante que je qualifie de féminisme mental (en d’autres termes : de trouble de la personnalité narcissique rhabillé en « féminisme »).
« Si vous m’attaquez, c’est le féminisme que vous attaquez ! », ben voyons…
Nous en venons donc à ce qui m’a stupéfaite dans leur ligne de défense, une stupéfaction doublée d’incrédulité et de déception, tant cet étalage de charabia féministe ne semble offusquer personne, pas même le bon saint Thomas – c’est là où l’on mesure l’emprise délétère de la propagande féministe sur les esprits de gauche. Oh, bien sûr, dans sa vidéo de 7 heures, quand il lit les tweets les plus tartes de Peltier-Lamy (« Hin hin, Mendax est un misogyne, un réac, un antifem, un mascu-u-uh… »), il soupire, il dit « Okayyyy », il laisse un blanc et on devine qu’il lève intérieurement les yeux au ciel, tout en croquant stoïquement sa pomme (j’ai ri, j’avoue).

Acermendax croquant sa pomme tout en lisant les 400 tweets où il se fait traiter de connard, de dominateur, de mascu… (j’adore le symbolisme involontaire de la pomme venu se greffer dans le tableau – cette vidéo est définitivement un OVNI 😂)
Mais il ne réagit pas, il ne répond jamais à ces conneries. Pourquoi ? La réponse tombe sous le sens : parce qu’il est lui-même enfermé à double tour dans sa prison mentale féministe et que la seule chose qui lui importe, encore et toujours, c’est de donner des gages à l’Église de la Pleurnicherie Toute-Puissante (« Oh, Mesdames les féministes, ayez pitié de moi, miserere mei, je suis votre humble serviteur, credo in omnipotentem verbum feministarum, éloignez de moi les peines de l’enfer de l’incrédulité, gn-gn-gn, amen »).
Puisque personne n’ose le dire, je vais donc m’en charger : « MAIS QU’EST-CE QUE C’EST QUE CES CONNERIES, À LA FIN ??? ». Depuis quand prendre une femme en défaut, avec preuves à l’appui (ici, les screens des propres présentations en ligne de Peltier et Lamy), est-il attaquer le féminisme ? Comment, en étant inscrite en doctorat (c’est le cas de Mme Lamy), peut-on encore recourir à un argumentaire aussi claqué au sol ? (franchement, il y a du ménage à faire à l’université de Toulouse 😡).
« J’ai dit des conneries, on m’a reprise, c’est le féminisme qu’on attaaaque !!! ». Mmes Peltier et Lamy confondent systématiquement leurs propres personnes et leurs propres errements avec le corpus idéologique du féminisme. « Nous SOMMES le féminisme ! », sous-entendent-elles en chœur, en toute modestie. Même s’il faut reconnaître à leur décharge que la ressemblance est effectivement frappante entre elles et le féminisme (narcissisme victimaire, régression infantile, harcèlement en ligne, doxxing, manipulation, intimidations, mensonges, bouillie intellectuelle, charabia comminatoire, logorrhée, « syndrome du hamster », haine des hommes, égocentrisme, irrationnalité, sentimentalisme, rage, crises de larmes, ressassement, ressentiment, vengeance, mauvaise foi, réécriture de l’histoire, dépression féminine, refus de se remettre en question, j’en passe et des meilleures – il ne manque quasiment que l’allusion aux règles et au clitoris dans leur argumentaire), le fait est qu’elles se trompent. Leurs petites personnes et leurs imprudences ou légèretés (leurs actes fautifs) ne sont PAS une idéologie (ici le féminisme), mais des comportements individuels dont elles ont eu à répondre, ne leur en déplaise (que je sache, toutes les féministes n’essaient pas d’enfumer sur leur statut). Elles ont tout simplement repris à leur compte (sans trop le comprendre, visiblement) le vieux mantra féministe : « Tout est politique », la tarte à la crème moisie du féminisme gauchisto-woke, représenté en France par leur maîtresse à penser, Sandrine Rousseau – laquelle se contente depuis le début de resucer les féministes des années 70, rappelons-le. Sandrine Rousseau n’a absolument aucune pensée personnelle, elle ne débite que du féminisme trouvé dans les tracts jaunis du MLF ou les torchons militants des radicales américaines des Seventies.
Pour faire une comparaison, c’est comme si moi, je me mettais subitement à brailler : « Je suis l’antiféminisme, si vous me critiquez quand je fais une faute de frappe, c’est l’antiféminisme que vous attaquez !! ». Non, mesdames, je ne confonds pas mes idées avec mes actes : si je grille un feu rouge en vélo, je grille le feu, point, je ne prétends pas poser un acte politique antiféministe. Si vous faites de même en voiture et qu’un policier vous arrête, vous allez hurler à la misogynie et au masculinisme ? Car vous en êtes réellement là, en fait. Et je vous dispense au passage d’espérer m’accabler ou me stigmatiser en me traitant d’antifem (le premier péché capital, selon votre pénitentiel) car…, apprêtez-vous à faire une syncope, je me revendique de l’antiféminisme, eh oui ! La seule hygiène mentale qui vaille, selon moi :
Je vais conclure provisoirement ce petit billet (j’aurais sans doute l’occasion de le compléter), avec ce que m’a inspiré la vidéo de Frédéric Delavier, postée hier sur cette affaire. Lui-même durement attaqué par Thomas Durand puis très violemment harcelé par ses troupes, il a tenu à prendre la défense de Marie Peltier, touché par sa détresse et les risques que cela pourrait faire courir à sa santé (de la dépression jusqu’au suicide). J’ai été frappée par deux aspects :
- Sa réaction typiquement masculine. Dans la même situation (bien pire, même), il raconte avoir réagi tout autrement. Pas de crises de larmes, de victimisation, d’autodestruction, de ruine de son quotidien, de discours à n’en plus finir, de risque dépressif voire suicidaire : uniquement de l’ardeur au combat et au boulot!
- Sa réaction typiquement masculine (bis). Même s’il ne partage à coup sûr rien du féminisme islamo-gauchiste de Marie Peltier (je ne connais pas Delavier, c’est juste une supposition), il ne peut s’empêcher de se montrer protecteur envers elle et de demander (à juste titre) à tous ceux qui le peuvent de lui venir en aide.
Il va de soi que ces réflexes masculins parfaitement sains, probablement inconscients chez Delavier mais présents chez la majorité des hommes, seront foulés aux pieds par nos féministes et renvoyés à du « masculinisme toxique » – ces buses ne différenciant pas une femme du féminisme, un homme du masculinisme, ou la masculinité de l’extrême droite et du nazisme –, ce qui permet de mesurer l’étendue de leur confusion intellectuelle et les dégâts que le féminisme mental opère sur les cerveaux fragiles des électeurs de gauche.
- Sans doute est-ce le même réflexe masculin inconscient qui anime Richard Monvoisin, le chef de la Zététique universitaire française (paraît-il), assorti chez lui du pattern féministe du chevalier blanc : « Oooohhh, une femme qui pleure !! Vite, mon cheval ! Sus aux harceleureusseusses ! IELS sont trop vilain.e.s !! » : « Je ne connais pas Marie Peltier ou Stéphanie Lamy, je n’ai jamais lu leur travail, sont-elles des êtres de lumière ou des cancres, je n’en sais rien, ont-elles eu un rôle dans l’escalade verbale c’est assez probable », écrit-il, n’écoutant que son cœur féministe meurtri par ses émotions au moment de voler à leur secours, en écriture exclusive, bien sûr (« les vidéastes ont été poussé·es par divers courants de préciser s’iels œuvraient pour le bien public ou pour leur égo, s’iels étaient team éducation populaire progressiste », etc.). D’aucuns n’auront pas manqué de faire remarquer, avec justesse, que ce manque de curiosité quant aux tenants et aboutissants de l’affaire n’était pas une posture tellement Zététique, mais passons. De mon poste d’observation, loin de cette mêlée (ils sont tous de gauche), je me contenterai de constater, une fois de plus, où le féminisme victimaire est en train de mener cette docte assemblée… RIP.
- Le sommet de la stupidité féministe est de nouveau atteint un peu plus tard (février 2025) avec cette justification ultime de Marie Peltier, plusieurs fois réitérée :

« Croire une femme quand elle se plaint de VSS »… Comme si jamais une femme ne mentait, comme si le mensonge était par nature impossible au sexe féminin, alors qu’il serait consubstantiel au sexe masculin… on croit rêver devant tant de sexisme et de bêtise. Comme si jamais une femme trompée n’allait accuser son ex de tout et n’importe quoi – alors que c’est quotidien ! Mais qu’attendre d’autre de féministes mentales au QI de bulot ?
[à suivre…]
. Image de couverture : « Combat d’Hercule contre l’Hydre de Lerne », gravure anonyme du XVIIIe siècle (=> dans mon esprit, au-delà d’Acermendax, Héraklès représente ici tout homme devant faire face aux attaques constantes et multiformes du féminisme toxique)
- Sur le même sujet :
. En 2022, je découvrais avec incrédulité la conversion de la Zététique au féminisme de gauche. Trois ans plus tard, les faits tendent à montrer que le mal est si profondément ancré que, selon la bonne vieille formule, « la Révolution est comme Saturne : elle dévore ses propres enfants », Thomas Durand lui-même serait sur le point de tomber au champ d’honneur, guillotiné par la Terreur féministe, une pancarte d’infâmie accrochée dans son dos : « Acermendax, masculiniste réac antiféministe et misogyne ». Quand je dis que c’est ballot… :
Bonjour et ravi de vous retrouver. Pas grand-chose à voir avec votre article, mais puisque vous en parlez, un billet intéressant de Régis de Castelnau sur le caractère illégal de « Hello Quitte X ». On ne parle pas de délits mineurs, ce n’est pas triste du tout. Pour citer sa conclusion : « Les petits bourgeois payés par l’État, et militants du camp du bien peuvent s’asseoir sur les règles de droit, considérant qu’elles ne leur sont pas applicables » (https://www.vududroit.com/2025/01/quitter-x-audits-algorithmiques-et-respect-du-droit/).
Dans le camp du bien, on peut tout se permettre mais, peut-être plus pour très longtemps. La démolition d’USAID par Elon Musk redonne de l’espoir (et provoque l’effroi dans le camp du bien).
En effet, j’ai lu et approuvé cet article de Régis de Castelnau. J’ai suivi sur X toute l’affaire HelloQuitteX et j’ai été scandalisée dé découvrir que le CNRS trempait là-dedans (et continuait à couvrir ces agissements militants avec l’argent public). J’attends et je soutiens les développements judiciaires de l’affaire. Wait and see.
Pour ceux qui n’auraient pas suivi l’affaire USAID, voici quelques projets pertinents qu’ils soutenaient :
1,5 million de dollars pour promouvoir la DEI dans les milieux de travail en Serbie.
70 000 $ pour la production d’une comédie musicale DEI en Irlande.
47 000 $ pour un opéra transgenre en Colombie.
32 000 $ pour une bande dessinée transgenre au Pérou.
15 millions de dollars de fonds publics à l’Afghanistan contrôlé par les talibans pour aider à distribuer « des contraceptifs oraux et des préservatifs ».
Bonjour, je me permets un petit commentaire après visionnage de la longue vidéo d’Acermendax… Je reste ébahi de le voir incapable de constater l’évidence idéologique à laquelle il fait face. Être à ce point aveuglé est consternant. J’ai eu affaire à des féministes et à leurs jugements misandres mais même étant de gauche ma raison fonctionnait suffisamment pour ne pas tomber dans le panneau de leurs imbécillités et constater où allait le « raisonnement » commun à cette cour des miracles détestant les hommes, les femmes, la nature naturelle, et la bien portance mental et physique. Or les zets semblent d’un aveuglement absolu. Malgré tout leurs appels à la raison, à éviter les biais cognitifs, à savoir penser, aucun de ces directeurs de conscience ne semble être en mesure du plus petit effort de remise en question de la doxa de leur « empire du bien » tant ils s’imaginent en preux chevaliers de la vérité et de la vertu venus éclairer le peuple ignare… Pourquoi sont-ils donc si prompts à renoncer devant l’imbécillité du féminisme woke intersectionnel et compagnie ? La réponse saute aux yeux… ils sont de gauche et ne s’opposent pas à ce qui vient de leur bord politique… Ils font communauté… Comme pour tout bon woke l’identité n’est pas individuelle mais collective, et l’esprit critique de ces individus n’existe qu’au service de ce qu’ils imaginent être leur collectif… même si ce collectif veut les lyncher en place publique… C’est désolant. La raison est secondaire chez eux et n’est qu’un outil de conversion des esprits… La neutralité un apparat de propagande pour y parvenir. Tout ça pour préserver de prétendues luttes sociales qui semblent bien illusoires tant elles ne défendent finalement personne. Je repense ici à votre sujet sur les femmes privées d’emplois à cause des néo féministes ou encore celui sur la cérémonie des JO… est-ce cela le goût de la justice aujourd’hui ? Exposer les gamins aux déviances psychiatriques et sexuelles de minorités désireuses d’imposer leur folie privée dans l’espace public ? La dysphorie de genre, par exemple, devrait être traitée comme un problème psy et non comme un problème chirurgicale…
Et après ces bienveillantes personnes se demanderont pourquoi leur camp se prend une branlée à chaque retour de bâton du réel… Quand beaucoup de gens ont du mal à boucler leurs fins de mois, ces individus préfèrent se soucier que chacun soit libre d’imaginer que son corps ne définit pas la réalité de ce qu’il est… L’idéologie du genre étant consubstantiel au néo féminisme, dans le genre Tartuffe ça se pose là… « On défend les femmes mais les femmes n’existent pas puisque n’importe quel homme peut prétendre en être une! » « Le sexe n’existe pas mais on est contre le sexisme » « Les hommes n’existent pas mais c’est le mal incarné. » « Le mâle blanc cisgenre hétéro patriarcal est responsable de tout les maux mais le racisme anti blanc n’existe pas ». il est d’autant plus aberrant de voir un biologiste embrigadé dans une idéologie pour laquelle le corps ne serait qu’une coquille vide qui ne déciderait de rien… Il ne voit pas les contradictions ? La réalité à la carte ? (Un coup le sexe ne détermine pas le genre mais le coup suivant il faut mettre la chair en adéquation…) Comment des gens qui passent leur temps à faire la leçon aux autres sur le « savoir penser » font pour ne pas voir ce qui crève pourtant les yeux : le spiritualisme, le puritanisme, le transhumanisme… Parce que finalement ne s’agit-il pas de cela ? Nous vendre l’émancipation de la chair comme un progrès social à travers la défense de pseudos minorités opprimées ? Si un homme peut devenir une femme, si une femme peut devenir un homme, alors l’un ou l’autre pourra tôt ou tard troquer un bras contre un substitut plus utile à son travail… Ou remplacer son cerveau par une puce… Concevoir sans sexe ni amour, ex utero et en couveuse synthétique un bébé sur catalogue… Ou n’importe quel délire déshumanisant. Les prétentions de supériorité morale de ces gens en sont venues à m’écœurer tant leur goût pour la vérité et la causalité disparaît dès lors qu’il leur faut montrer leur obédience orthodoxe à un progressisme qui se proclame progrès sans en avoir jamais apporté la preuve…
Au fond leur ennemi c’est la chair.
Et toutes les alliances sont bonnes pour faire triompher la négation de la chair et le puritanisme spiritualiste. D’où la convergence avec l’islamisme… Et les accusations portées contre les hommes.
La guerre des sexes est une guerre civile qui permet d’anéantir toute une population, une culture, une histoire, un peuple, une nation, bien plus sûrement que n’importe quelle arme…
Les bonnes âmes de nos sœurs de la victimitude sont-elles conscientes qu’elles travaillent à l’anéantissement de tout ce qui leur a permis d’exister ? Jusqu’où va leur folie ?
Et jusqu’où iront les hommes soucieux de leur plaire pour accéder à leurs faveurs ? J’ai l’impression que l’on vit le suicide du monde occidental. La raison n’existe plus et ce ne sont pas des zététiciens mou du genou qui seront capables de se tenir debout et de faire face aux périls de l’avenir, pas plus que la génération ouin-ouin… Ouais, on est foutu.
Constat pessimiste je vous l’accorde.
Heureusement le serpent se mord la queue en tournant sur lui-même. Leur délire ne cesse d’invoquer ce qu’il prétend combattre. Il est donc probable qu’arrivé à un certain seuil, un goulot d’étranglement se fasse et que leur bêtise s’effondre sur elle-même de par sa propre masse. Le serpent ne pourra plus s’avaler et va s’étouffer puis mourir. Mais combien de dégâts d’ici-là ? Combien de vies mutilées ? Combien d’acquis seront détruis et perdus ? Constat désolant.
Entièrement d’accord, vous avez tout dit !
Oui, ces gens ont généralement un problème avec la chair, un problème d’incarnation, comme je l’écrivais par exemple à propos de cette universitaire :
https://eromakia.fr/index.php/2021/06/01/anales-de-la-sorbonne-rachele-borghi/
Et la déception est toujours immense de découvrir que les Zététiciens ne sont jamais rien d’autre que les gardiens de la doxa gauchiste en cours, de tous les conformismes pseudo-progressistes, qu’ils ne sont que la caisse de résonnance des pires loufoqueries de l’idéologie du genre.
Thomas Durand se prend en ce moment même une plainte en justice par Lamy, l’hystérique en chef, sur des motifs absolument ridicules, mais comme il est féministe jusqu’au trognon, il est incapable de réaliser que les deux folles en face de lui ne font qu’appliquer la lecture du monde féministe que lui-même défend. J’espère quand même qu’il gagnera en justice et qu’il aura l’énergie de leur renvoyer la balle.
Cette universitaire qui se met nue en croyant faire de la provoque devant une salle qui lui est acquise me fait penser au goulot d’étranglement dont je parlais… 🤔 Et le remettre en cause.
Leurs affabulations pourraient-elle tenir indéfiniment sur le spectacle permanent de la mise à mort théatralisée et ritualisée de leur ennemi imaginaire et de leurs opposants, tous renvoyés à la figuration de cet ennemi ?
Les normes ordinaires seraient ainsi conservées pour être rituellement enfreintes mais uniquement par le clergé autorisé des prédicatrices néo féministes prêchant indéfiniment notre culpabilité… La culpabilité entretenue comme levier de manipulation pour obtenir l’obéissance… Je suis un homme, et un homme blanc, je suis donc coupable par nature. Soit je change de sexe, (mais pas de couleur car ça c’est interdit « bouh pas bien, convergence des luttes ! ») et rejoins le camp des mutilés volontaires, soit je me prosterne et fais acte de contrition dans l’espoir d’être pardonné. Mais pour cela il me faudra obéir. Quelle que soit l’imbécilité de ce qui me sera demandé…
Les féministes sont déjà partout, omniprésentes, « omnichiantes », et pourtant il y a bien peu de gens pour pointer les contradictions qu’elles manifestent à la vue de tous… Et les quelques personnes qui le font en prennent pour leur grade, ce qui pourrait constituer un moyen de dissuasion efficace pour faire taire leurs opposants potentiels et réduire peu à peu tout le monde au silence…
Finalement n’est-ce pas volontaire que de raconter autant de sornettes pour démontrer le pouvoir de les dire sans rencontrer d’opposition ou d’écraser celle-ci ? 🤔
La plainte de Lamy, ainsi que leur attitude à elle et sa comparse, me semble relever de cette manière de procéder. C’est d’un sans-gêne total. La vidéo de 7h montre bien que si langues de vipère il y a, c’est dans leurs bouches qu’elles se trouvent. Le nombre de tweets/skeets est éloquent. Elles insultent sans l’ombre d’une hésitation.
Leur tentative de recruter Delavier m’a intrigué. Déjà parce que je connaissais un peu le bonhomme de par ses livres et j’ai été étonné qu’il ai pu être pris pour cible par la TEB autrement que pour ses positions sexuées (il était intervenu dans une vidéo de Stéphane Édouard) mais aussi et surtout parce que l’envoi d’un mail à Thomas Durand avant publication de la vidéo 1 de celui-ci m’a laissé perplexe… Une adulte qui fait écrire sa mère ? La mère qui se mêle des affaires de sa fille ? Une mère manipulatrice venant en renfort de la victimisation de sa fille manipulatrice ?🤔 Si elles ont à ce moment-là déjà été victime de harcèlement à cause d’une autre affaire zet, pourquoi persister sur les réseaux sociaux ? Pourquoi ne pas s’en abstenir et, comme vous le dites, donner la priorité à l’enfant à naître à ce moment-là il me semble. Bref, ces féministes ont beau se croire et se vivre toute puissantes, « empouvoirées », elles ont vu en Delavier un solide gaillard à envoyer à la filoche à leur place, et ont dégainé les larmes et toute la panoplie des classiques du « féminin toxique »… C’est drôle toutes ces guerrières qui passent leur temps à geindre…
(perso j’aime la laideur du mot « empouvoirer » qui leur va si bien.)
La justice tranchera, mais l’intervention de Delavier m’a fait réfléchir sur finalement le côté inquisitorial des zets. Il y a un aspect intrusif dans leur démarche. Certes debunker des idées c’est bien, on se renseigne , on se cultive, on apprend des choses… Mais ils ont commencé à s’en prendre à des personnes, et là ça coince déjà plus, même si il s’agit de charlatans, enquêter sur quelqu’un, vérifier son pédigrée c’est spécial. 🤔 Pour le moment ça reste sur les qualifications mais à quand l’enquête de bonne moralité ? D’orthodoxie doctrinale ?
Au passage la collaboration (d’une seule des deux Mistinguett je crois) sur la forfaiture du Doc la fabrique du mensonge sur l’affaire Depp ne m’étonne pas. Ce truc dénonçait un complot médiatique masculiniste. C’était à pisser de rire vu l’omniprésence du néo féminisme dans les médias…
Quand quelqu’un refuse la possibilité même d’avoir tort, et crie au complot dès que l’on réfute ses théses en général c’est mauvais signe, mais ça n’alerte pas les zets sur les néo féministes… 😮💨 Ils devraient bosser la question des idéologies totalitaires, ça leur ouvrirait peut-être les yeux.
Oui, cela fait longtemps que les Zets sont passés de la réfutation des idées aux attaques ad hominem et au harcèlement pur et dur. Raison pour laquelle la partie la plus honnête de leurs troupes se désolidarise petit à petit.
Dans le cas des deux vipères Lamy et Peltier, c’est différent, car elles sont de leur bord idéologique et Durand ne les a pas harcelées.
Avec elles, il n’est ni dans le débat d’idées ni dans le harcèlement. Il est juste comme un lapin affolé pris dans les phares; il ne comprend pas ce qui lui arrive. Il est d’accord avec elles sur la quasi-totalité de leurs positions (il suffit de voir leurs BlueSky respectifs : ils retwettent assez souvent les mêmes actus, en particulier sur le wokisme et l’idéologie du genre, dont ils partagent le fonds idéologique).
Durand est ici un cas d’école de la révolution qui dévore ses enfants, comme on disait plus haut. Lamy-Peltier sont au féminisme ce que l’islamisme est à l’islam : son application stricte et ultime, ni plus ni moins.
Même si Durand se fait personnellement détruire par une justice féministée et dévoyée, il continuera de défendre le féminisme… Je lui souhaite quand même de gagner, de même que j’espère vraiment que Bayou, autre homme-soja rampant devant les mégères féministes, contre-attaquera les deux Terminator EELV, Rousseau et Tondelier, et gagnera.
Je sais qu’il n’a pas harcelé Peltier et Lamy, dont la réaction ne s’explique effectivement que par leur pathologie féministe, et j’espère également qu’il gagnera son procès.
Pour ce qui est des hommes féministes, je ne sais pas ce qui retient certains de comprendre que le féminisme est leur ennemi. C’est assez stupéfiant de constater que même la réalisation d’une vidéo de 7h n’a pas suffit à Thomas Durand… Il y avait pourtant matière à faire des recoupements… Les mystères de l’aveuglement.
Tout à fait. Jamais il ne relève le délire de leur fémininhystérie – alors qu’il y aurait tant de choses à dire sur le dévoiement de cette idéologie, sur son fonds haineux, manipulateur, sexiste, pathologique, qu’elles mettent pourtant parfaitement en évidence. Il ne peut absolument pas comprendre que c’est au nom du féminisme qu’il se fait ainsi insulter; il a tellement peur de dire un mot de travers sur leur religion commune qu’il rampe, rampe, rampe, soumis de chez soumis à la « philosophie » de ses accusatrices, lol.
Question un peu hors sujet. Pensez-vous que le retour de balancier américain finira par avoir raison de ces lubies? Que la réaction féministe soit virulente est un fait, mais la plupart des gens, et notamment les femmes, ne sont pas des idéologues. Il existe un habitus certes, mais un nouveau paradigme se met en place et il n’est pas favorable à ces idées.
Le phénomène bluesky n’en n’est qu’un prodrome.
J’espère que le vent est en train de tourner, mais je ne suis sûre de rien. Les jeunes femmes féministes étant des esprits tellement faibles et facilement manipulables qu’il est possible qu’elles tombent à pieds joints dans l’anti-américanisme primaire qui est en train de monter en ce moment. Mais il est sans doute trop tôt pour tirer des conclusions.
Il me revient en mémoire vos propos sur le choix de cibles faciles par les néo féministes et au fond s’en prendre à leurs partisans masculins est ce qu’il y a de plus simple pour essayer de terroriser le commun des mortels. C’est peut-être le fonctionnement de toutes les révolutions qui dévorent leurs enfants. Choisir les cibles les plus faciles, des individus qui ne contesteront ni les termes, ni les buts de leur idéologie commune. Cela permet d’assurer un spectacle, la théâtralisation de leur intransigeance. Le message étant que même le plus dévot peut s’en manger une, et qu’il faut donc raser les murs et se faire discret, leur laisser le champs libre, et se soumettre…
Là où on peut voir des querelles intestines, il n’y a peut-être que des mises à mort rituelles, des sacrifices en guise de menaces générales, des démonstrations de forces, factices dans la mesure où leur opposant est faible du fait même de partager la même cause.
Un peu comme si la meute dévorait les plus faibles de ses membres pour faire peur aux autres et les amener à un comportement plus servil. 🤔