[À féministe, féministe et demie] – Acermendax et l’Hydre de Lerne

Venant tout juste de revenir sur X/ex-Twitter après deux ou trois ans d’absence – maintenant que l’air y est plus respirable et que l’appli pour demeurés HelloQuitteX a incité les plus crasseux à aller s’agglutiner sur BlueSky, le « réseau des losers », comme on l’appelle sur X –, je me fais happer d’emblée, passablement interloquée, par l’incroyable drama qui oppose depuis 26 mois (!) Acermendax (le fameux Thomas Durand, de la non moins fameuse Tronche en Biais) à deux féminhystériques de compétition internationale – des caricatures plus vraies que nature des pires travers néoféministes que je croque depuis près de 10 ans maintenant sur ce site.

J’ai longtemps hésité à publier sur ce sujet pour deux raisons principales. La première était de ne pas rajouter une couche de tourments aux deux impétrantes, Marie Peltier et Stéphanie Lamy, qui se montrent depuis le début incapables de gérer la moindre contrariété, la moindre offense, la moindre critique, montant systématiquement dans les tours et produisant d’interminables logorrhées aussitôt que quelqu’un aborde l’affaire autrement qu’en leur tressant des lauriers. Je sais pour autant que leur souffrance n’est pas feinte et que leur vie est véritablement devenue un enfer depuis l’été 2023. Je ne suis pas insensible à ce calvaire : il se lit dans le nombre même de leurs tweets (des dizaines et des dizaines chaque jour, ce qui est en soi un indice notable de souffrance psychique). Il ne s’agissait pourtant pas d’attaques injustifiées – les critiques d’Acermendax dans cette vidéo qui a mis le feu aux poudres (« Fausse expertise chez les anti complotisme ? », 09/08/23), pouvaient parfaitement s’entendre et n’étaient en rien diffamatoires (la justice aurait fait sauter la vidéo sinon) – ; il eut été naturel d’y répondre en gardant son calme, simplement par la qualité intrinsèque de ses productions (l’étiquette « d’expert » en ceci ou cela n’étant pas si importante ; je vais y revenir). Il n’y avait donc pas de quoi se rouler par terre en hurlant à la misogynie, au masculinisme ou à l’antiféminisme comme elles le font quotidiennement depuis des mois – et raison pour laquelle je me suis finalement décidée à prendre la plume, puisqu’il se trouve que cela touche à mon propre « domaine d’expertise ».

La deuxième raison était leur passif en matière de cyberharcèlement, si j’en crois la vidéo de Yogina (« Je suis l’invisible », 19/08/23), l’actuelle compagne d’Antoine Daoust à qui elles avaient enfoncé la tête sous l’eau lors de l’affaire Fact and Furious ; ou bien le déluge de tweets visant à ruiner la réputation de Thomas Durand – 7 heures (!) d’élucubrations, ressassant et ressassant en boucle les mêmes éléments de langage (« VICTIMISATION – Marie Peltier, Stéphanie Lamy & le méta-harcèlement », 21/01/25). Je peux donc m’attendre à des palanquées de tweets me traitant moi aussi de tous les noms si par malheur elles découvrent cet article. En vérité, je ne l’écris pas pour qu’elles le lisent, et encore moins pour les convaincre (personne ne peut de toutes façons ramener à la raison des esprits aussi profondément égarés dans le féminisme mental) ; je l’écris surtout parce qu’il illustre d’une manière tellement chimiquement pure la manière dont le féminisme militant se commue trop souvent en une forme de psychose narcissique – ce que je supputais depuis longtemps –, que je ne pouvais pas ne pas saisir une aussi belle occasion de souligner combien cet épisode conforte mes hypothèses.

Ce qui m’a interloquée dans l’argumentaire des deux Miss

J’avoue être restée comme deux ronds de flan quand j’ai vu passer, repasser et re-repasser, des tweets (*) de ce type :

(*) Je parle de tweets, mais l’affaire se passe sur BlueSky. Les Bluskyers (ou plus exactement les Losers, puisqu’ils ont afflué sur cette plateforme en réaction à la déculottée de la gauche américaine et par détestation de la liberté de parole), essaient de remplacer « tweets » par « skeets ». Etant donné que je me contrefiche autant de BlueSky que des injonctions de ses colonies de gauchistes en surchauffe, je continuerai pour l’instant à parler de tweets. En voici donc quelques récents :

Etc., etc. Il en va de même avec les termes « misogyne » et « masculiniste », dégainés sans répit et assortis comme il se doit de tout le jargon comminatoire du féminisme victimaire (« patriarcat », « VSS », « boy’s club », « culture du viol », « silencier », et tutti quanti). Durand, pourtant un féministe bon teint qui ne manque jamais une occasion de prouver qu’il est un fervent thuriféraire du féminisme d’état, qui consacre quotidiennement à son dieu gauchiste de l’Égalité et des VSS (les « violences sexistes et sexuelles », gna gna gna, amen) – au point même de publier prochainement un roman très féministement intitulé Empouvoirement (🙄🙄🙄) –, se voit donc gratifier, du matin au soir, des pires stigmates de l’Église de la Vengeance Perpétuelle. Durand serait-il donc un « masculiniste réac antiféministe et misogyne », comme elles le martèlent, une de ces créatures visqueuses et terrifiantes directement vomies par les enfers ? (les féministes ont toujours beaucoup d’imagination pour conjurer leurs fantasmes sexuels ou les hommes qui les repoussent). Voilà qui serait ballot, pour un honnête chrétien, pardon, un honnête féministe… Mais reprenons depuis le début.

La vidéo d’août 2023

Bien que l’histoire soit longue et ses péripéties mouvementées, on pourrait la synthétiser de la sorte : en août 2023, Thomas Durand commet une vidéo de débunkage envers deux « fausses expertes », Marie Peltier et Stéphanie Lamy, essentiellement accusées de se faire passer dans les médias pour des spécialistes ou des enseignants-chercheurs dans des domaines où elles n’ont pas reçu de validation universitaire. La vidéo en elle-même, si elle était assez cassante, ne constituait en rien une forme de harcèlement : elle relevait simplement de la dénonciation étayée, voire de l’attaque en règle, à l’image de ce que font nombre de « journalistes d’investigation » dans des médias tels que Libé, Le Monde ou Médiapart ou dans des livres totalement à charge, qu’ils publient toujours avec jubilation et sans le moindre état d’âme. Leurs cibles se retrouvent souvent brisées, leur réputation, leur famille et leur carrière professionnelle ruinées, sans que cela émeuve outre mesure nos féministes de service. Il faut dire que cela concerne habituellement des hommes ; aussi, ils peuvent bien crever, elles en jouiront de toutes façons. Il en va de même pour toutes les autres cibles de Thomas Durand (Psyhodelik, Frédéric Delavier, Idriss Aberkane, Didier Raoult, Jacques Grimault et tant d’autres), envers qui les attaques ont été d’une violence sans commune mesure – Durand le reconnaît lui-même. Eux n’ont pourtant jamais hurlé à l’anti-masculinisme ou à la misandrie ! Il a donc été évident pour moi, à la vue de cette vidéo, que la réaction de nos deux féministes a été aussi disproportionnée que contre-productive.

Suite à cette vidéo et à leur réaction inadaptée, les choses se sont enflammées et il semble avéré (je n’étais pas sur les RS pour le constater) qu’elles ont subi un harcèlement en règle, ce que Durand reconnaît également ; le problème étant que leur positionnement féministe radical islamo-gauchiste (ce dont elles se revendiquent, ce n’est pas moi qui leur colle cette étiquette) les a fait déplacer le conflit sur un terrain encore plus inflammable, celui du féminisme mental (l’expression est de moi, ne cherchez pas, je vais expliquer) :

(La « terreur masculiniste », tiens donc… La seule terreur qui existe dans les faits, bien évidemment, c’est la terreur féministe, celle qui m’interdit, à moi, de sortir du pseudonymat sous peine de voir ma famille pourchassée et ma vie professionnelle détruite par des Erinnyes dans son genre – qui elles, évidemment, ont table ouverte dans les universités pour diffuser leurs mensonges. Et ça vient encore nous parler de terreur…)

Universitaire ou pas, quelle importance ?

Ce drama est d’autant plus désolant que le fond de l’affaire (la question de « l’expertise » dénoncée dans la vidéo de 2023) n’avait rien d’une condamnation irrémédiable. OK, Marie Peltier avait laissé les journalistes l’étiqueter « enseignant-chercheur », alors qu’elle était seulement « enseignante » et « chercheur indépendante »… et alors ? C’était un péché véniel, facilement amendable, il n’y avait pas de quoi faire tout ce pataquès. Des centaines d’auteurs, essayistes, experts en tous genres se sont formés sur le tas et ils sont considérés comme des références dans leurs domaines : la seule chose qui compte, c’est leur authenticité, leur talent, leur originalité. Il suffisait aux deux impétrantes de prouver leur légitimité, non par des titres universitaires, mais par leurs compétences dans leurs domaines d’expertise, par la qualité de leurs recherches et de leurs écrits, et par la reconnaissance de leur milieu. En tout cas, c’est comme cela que je réagirais si on venait me faire un procès en légitimité (*) dans le domaine de la critique du féminisme (au hasard).

(*) Dans le domaine de la critique du féminisme, il est naturellement impossible d’envisager la moindre validation universitaire. Si vous un approchez un « laboratoire » d’études de genre en expliquant que vous êtes en quête d’un directeur de thèse pour mener une recherche sur les discours fallacieux du féminisme d’extrême gauche, on sortira immédiatement les gousses d’ail en hurlant au blasphème et à l’anathème et vous serez excommunié(e) sur le champ.

Pour moi, la bonne réaction aurait simplement tenu en une formule : se remettre au travail. Prendre le temps de remettre à plat sa ligne de conduite et ses projets, d’encaisser le coup (rude, il n’y a pas débat là-dessus), puis remonter en selle une fois le temps venu – éventuellement après quelques années consacrées à la petite enfance de sa fille dans le cas de Marie Peltier, cet enfant ayant bien droit à une vie apaisée. Je n’ai donc pas compris leur réaction victimaire et narcissique, comme si une petite légèreté dans la définition de leur statut, prise en défaut publiquement – étant entendu que ce soit terriblement désagréable –, devait remettre en question l’intégralité de leurs travaux ou de leurs personnes. Ou plutôt si, j’ai vite compris que le féminisme narcissique et victimaire qui avait colonisé leurs cerveaux les avait conduites à s’enliser dans cette défense délirante que je qualifie de féminisme mental (en d’autres termes : de trouble de la personnalité narcissique rhabillé en « féminisme »).

« Si vous m’attaquez, c’est le féminisme que vous attaquez ! », ben voyons

Nous en venons donc à ce qui m’a stupéfaite dans leur ligne de défense, une stupéfaction doublée d’incrédulité et de déception, tant cet étalage de charabia féministe ne semble offusquer personne, pas même le bon saint Thomas – c’est là où l’on mesure l’emprise délétère de la propagande féministe sur les esprits de gauche. Oh, bien sûr, dans sa vidéo de 7 heures, quand il lit les tweets les plus tartes de Peltier-Lamy (« Hin hin, Mendax est un misogyne, un réac, un antifem, un mascu-u-uh… »), il soupire, il dit « Okayyyy », il laisse un blanc et on devine qu’il lève intérieurement les yeux au ciel, tout en croquant stoïquement sa pomme (j’ai ri, j’avoue).

Acermendax croquant sa pomme tout en lisant les 400 tweets où il se fait traiter de connard, de dominateur, de mascu… (j’adore le symbolisme involontaire de la pomme venu se greffer dans le tableau – cette vidéo est définitivement un OVNI 😂)

Mais il ne réagit pas, il ne répond jamais à ces conneries. Pourquoi ? La réponse tombe sous le sens : parce qu’il est lui-même enfermé à double tour dans sa prison mentale féministe et que la seule chose qui lui importe, encore et toujours, c’est de donner des gages à l’Église de la Pleurnicherie Toute-Puissante (« Oh, Mesdames les féministes, ayez pitié de moi, miserere mei, je suis votre humble serviteur, credo in omnipotentem verbum feministarum, éloignez de moi les peines de l’enfer de l’incrédulité, gn-gn-gn, amen »).

Puisque personne n’ose le dire, je vais donc m’en charger : « MAIS QU’EST-CE QUE C’EST QUE CES CONNERIES, À LA FIN ??? ». Depuis quand prendre une femme en défaut, avec preuves à l’appui (ici, les screens des propres présentations en ligne de Peltier et Lamy), est-il attaquer le féminisme ? Comment, en étant inscrite en doctorat (c’est le cas de Mme Lamy), peut-on encore recourir à un argumentaire aussi claqué au sol ? (franchement, il y a du ménage à faire à l’université de Toulouse 😡).

« J’ai dit des conneries, on m’a reprise, c’est le féminisme qu’on attaaaque !!! ». Mmes Peltier et Lamy confondent systématiquement leurs propres personnes et leurs propres errements avec le corpus idéologique du féminisme. « Nous SOMMES le féminisme ! », sous-entendent-elles en chœur, en toute modestie. Même s’il faut reconnaître à leur décharge que la ressemblance est effectivement frappante entre elles et le féminisme (narcissisme victimaire, régression infantile, harcèlement en ligne, doxxing, manipulation, intimidations, mensonges, bouillie intellectuelle, charabia comminatoire, logorrhée, « syndrome du hamster », haine des hommes, égocentrisme, irrationnalité, sentimentalisme, rage, crises de larmes, ressassement, ressentiment, vengeance, mauvaise foi, réécriture de l’histoire, dépression féminine, refus de se remettre en question, j’en passe et des meilleures – il ne manque quasiment que l’allusion aux règles et au clitoris dans leur argumentaire), le fait est qu’elles se trompent. Leurs petites personnes et leurs imprudences ou légèretés (leurs actes fautifs) ne sont PAS une idéologie (ici le féminisme), mais des comportements individuels dont elles ont eu à répondre, ne leur en déplaise (que je sache, toutes les féministes n’essaient pas d’enfumer sur leur statut). Elles ont tout simplement repris à leur compte (sans trop le comprendre, visiblement) le vieux mantra féministe : « Tout est politique », la tarte à la crème moisie du féminisme gauchisto-woke, représenté en France par leur maîtresse à penser, Sandrine Rousseau – laquelle se contente depuis le début de resucer les féministes des années 70, rappelons-le. Sandrine Rousseau n’a absolument aucune pensée personnelle, elle ne débite que du féminisme trouvé dans les tracts jaunis du MLF ou les torchons militants des radicales américaines des Seventies.

Pour faire une comparaison, c’est comme si moi, je me mettais subitement à brailler : « Je suis l’antiféminisme, si vous me critiquez quand je fais une faute de frappe, c’est l’antiféminisme que vous attaquez !! ». Non, mesdames, je ne confonds pas mes idées avec mes actes : si je grille un feu rouge en vélo, je grille le feu, point, je ne prétends pas poser un acte politique antiféministe. Si vous faites de même en voiture et qu’un policier vous arrête, vous allez hurler à la misogynie et au masculinisme ? Car vous en êtes réellement là, en fait. Et je vous dispense au passage d’espérer m’accabler ou me stigmatiser en me traitant d’antifem (le premier péché capital, selon votre pénitentiel) car…, apprêtez-vous à faire une syncope, je me revendique de l’antiféminisme, eh oui ! La seule hygiène mentale qui vaille, selon moi :

Je vais conclure provisoirement ce petit billet (j’aurais sans doute l’occasion de le compléter), avec ce que m’a inspiré la vidéo de Frédéric Delavier, postée hier sur cette affaire. Lui-même durement attaqué par Thomas Durand puis très violemment harcelé par ses troupes, il a tenu à prendre la défense de Marie Peltier, touché par sa détresse et les risques que cela pourrait faire courir à sa santé (de la dépression jusqu’au suicide). J’ai été frappée par deux aspects :

  • Sa réaction typiquement masculine. Dans la même situation (bien pire, même), il raconte avoir réagi tout autrement. Pas de crises de larmes, de victimisation, d’autodestruction, de ruine de son quotidien, de discours à n’en plus finir, de risque dépressif voire suicidaire : uniquement de l’ardeur au combat et au boulot!
  • Sa réaction typiquement masculine (bis). Même s’il ne partage à coup sûr rien du féminisme islamo-gauchiste de Marie Peltier (je ne connais pas Delavier, c’est juste une supposition), il ne peut s’empêcher de se montrer protecteur envers elle et de demander (à juste titre) à tous ceux qui le peuvent de lui venir en aide.

Il va de soi que ces réflexes masculins parfaitement sains, probablement inconscients chez Delavier mais présents chez la majorité des hommes, seront foulés aux pieds par nos féministes et renvoyés à du « masculinisme toxique » – ces buses ne différenciant pas une femme du féminisme, un homme du masculinisme, ou la masculinité de l’extrême droite et du nazisme –, ce qui permet de mesurer l’étendue de leur confusion intellectuelle et les dégâts que le féminisme mental opère sur les cerveaux fragiles des électeurs de gauche.

  • Sans doute est-ce le même réflexe masculin inconscient qui anime Richard Monvoisin, le chef de la Zététique universitaire française (paraît-il), assorti chez lui du pattern féministe du chevalier blanc : « Oooohhh, une femme qui pleure !! Vite, mon cheval ! Sus aux harceleureusseusses ! IELS sont trop vilain.e.s !! » : « Je ne connais pas Marie Peltier ou Stéphanie Lamy, je n’ai jamais lu leur travail, sont-elles des êtres de lumière ou des cancres, je n’en sais rien, ont-elles eu un rôle dans l’escalade verbale c’est assez probable », écrit-il, n’écoutant que son cœur féministe meurtri par ses émotions au moment de voler à leur secours, en écriture exclusive, bien sûr (« les vidéastes ont été poussé·es par divers courants de préciser s’iels œuvraient pour le bien public ou pour leur égo, s’iels étaient team éducation populaire progressiste », etc.). D’aucuns n’auront pas manqué de faire remarquer, avec justesse, que ce manque de curiosité quant aux tenants et aboutissants de l’affaire n’était pas une posture tellement Zététique, mais passons. De mon poste d’observation, loin de cette mêlée (ils sont tous de gauche), je me contenterai de constater, une fois de plus, où le féminisme victimaire est en train de mener cette docte assemblée… RIP.

[à suivre…]

. Image de couverture : « Combat d’Hercule contre l’Hydre de Lerne », gravure anonyme du XVIIIe siècle (=> dans mon esprit, au-delà d’Acermendax, Héraklès représente ici tout homme devant faire face aux attaques constantes et multiformes du féminisme toxique)

  • Sur le même sujet :

. En 2022, je découvrais avec incrédulité la conversion de la Zététique au féminisme de gauche. Trois ans plus tard, les faits tendent à montrer que le mal est si profondément ancré que, selon la bonne vieille formule, « la Révolution est comme Saturne : elle dévore ses propres enfants », Thomas Durand lui-même serait sur le point de tomber au champ d’honneur, guillotiné par la Terreur féministe, une pancarte d’infâmie accrochée dans son dos : « Acermendax, masculiniste réac antiféministe et misogyne ». Quand je dis que c’est ballot… :