Les laboratoires d’études de genre rassemblent des coteries de néo-bigotes et de mères supérieures en mal de couvents, béguinages ou infirmeries qui se cooptent entre elles depuis des décennies. Elles déversent sur l’université et les médias des générations de militantes qui se radicalisent d’année en année, à mesure que les délires paranoïaques et de domination leur labourent le cerveau – ou ce qu’il en reste. Je rassemble donc sur cette page-portail quelques spécimens dont j’ai eu à traiter ces derniers mois ou années.
Pourquoi ces illuminées ne se décident-elles pas à fonder une société parallèle sur une île déserte ou sur un autre continent, une sorte de Cité des femmes dystopique où elles se crêperaient le chignon en toute sororitude ? Où elles pourraient grenouiller au frais avec leurs fantasmes gynocratiques et leurs fixations mentales, nous laissant pratiquer en paix l’éromachie – la lutte amoureuse qui donne son nom à ce site –, c’est-à-dire la bonne vieille guerre des sexes ?
Car oui, mesdames et mesdemoiselles les grandes pleureuses devant l’Éternel, le commerce amoureux peut faire mal, eh oui ! Quand on en arrive à vouloir détruire la carrière et la vie d’un homme simplement parce qu’il vous a quittée, à faire de cette peine de cœur, tout authentique et lancinante soit-elle, l’alpha et l’oméga de son combat politique, ou à s’imaginer qu’on abolira un jour l’emprise amoureuse, on ne laisse plus aucun doute sur ce qu’est devenu le féminisme : une arme de destruction massive au service d’un bataillon de femmes trompées et revanchardes. Quel noble combat que voilà ! On n’ose imaginer ce qui se passerait si tous les hommes cocus en faisaient à leur tour la matrice de leur combat politique.
Pourquoi donc ces missionnaires et ces inquisitrices s’obstinent-elles à confondre l’université et le couvent ? La réponse, on ne la connaît que trop, hélas : leur ultime jouissance en ce monde est de détruire tout ce qui les entoure, hommes et femmes compris, histoire de ne pas devoir s’enfoncer seules dans leur marécage intérieur, leurs désordres affectifs et leur ressentiment au cul verdâtre. Se défouler sur les hommes normaux à qui elles font horreur (les autres étant des masochistes déconstruits encore plus ravagés qu’elles) en essayant d’entrainer dans leur névrose toutes les autres femmes est donc devenu leur unique obsession et leur poule aux œufs d’or (sur l’argent public, ça va de soi).
Mais contrairement à ce qu’elle croient, cela ne leur évitera pas de se dissoudre dans le solipsisme et le néant intellectuel, puisque pleurer sur un « patriarcat » imaginaire pour régler ses comptes avec son ex ou avec la gent masculine en général ne peut en aucun cas constituer la matière d’une œuvre durable. L’histoire des idées fera tôt ou tard le ménage et remettra à leur place toutes ces Madame Bovary d’opérette, je n’en doute pas une seconde.
- La féministe totalitaire en chef pour commencer, Sandrine Rousseau :
- La reine-sorcière, leur mère à toutes :
- Leur papesse en carton :
- Quelques dévotes de la congrégation :
- Réjane Sénac, Christine Bard, Éliane Viennot, Manon Garcia, Chloé Maillet :
La femme antiféministe, épine dans le pied des féministes
Manon Garcia ou la « philosophie » soumise à l’idéologie victimaire
[La paille et la poutre] – Éliane Viennot, le féminisme et la misogynie
- Mais il n’y a pas que des dévotes, il y a aussi aussi des dévots :
- Sans oublier les doctorantes féministes :
[à suivre…]