. La Ballade des Pendus (février 2021)
– Jean-Patrick Capdevielle, « La Cité fantôme » (album /2, 1980)
– Matalo !, western spaghetti psychédélique de 1970, de Cesare Canevari, avec Corrado Pani et Claudia Gavry.
Le point de vue du film pourrait être celui de la ville elle-même qui, telle une morte-vivante, règle leur compte aux intrus venus troubler son repos éternel.
Dans le clip, l’histoire dans l’histoire est celle d’un couple d’amants diaboliques – des desperados réfugiés dans la ville morte après une série d’exactions violentes. Une ville fantôme où se terre toujours une vieille dame spectrale – et armée, la descendante de ses fondateurs. La fin de l’histoire est laissée ouverte, même si : « Regarde autour de toi, tout est mort », est-il dit dans le film.
. Tout Flambe (octobre 2019)
Jean-Patrick Capdevielle, « Demain, ce sera la fin du monde » (album Bienvenue au Paradis, 2016)
– Salma Hayek dans The Hunchback, 1997
– Jour de fête de Jacques Tati, 1949
– Gina Lollobrigida dans Notre-Dame de Paris, 1956
– Armageddon, 1998
– Orson Welles dans The War of Worlds, 1938
Iconographie et montage : Lucia
. De Redemptione per peccatum (« De la rédemption par le péché ») (août 2019)
– Jean-Patrick Capdevielle, « Quarante-trois souvenirs » (Les Enfants des Ténèbres et les Anges de la Rue, 1979)
– Jean-Patrick Capdevielle, « Rasputin in Ayutthaya », (Triptyque. Acrylique, pigments peinture vitrail, paillettes, vernis, 2019)
: Vie et mort de Grigori Raspoutine
Iconographie et montage : Lucia [plus sur cette vidéo]
. Sex Games (février 2019)
Jean-Patrick Capdevielle – Sex Games (in Autoportrait, Maquette inédite, 2009)
Federico Fellini, Il Casanova di Fellini, 1976, avec Donald Sutherland et Adele Angela Lojodice (le pantin de bois)
Iconographie et montage : Lucia [Plus sur cette vidéo]
. † In Memoriam † (janvier 2019)
Jean-Patrick Capdevielle, L’Hiver (Planète X – 1985)
. As Time Goes On (janvier 2019)
Jean-Patrick Capdevielle, Monkey Man (Planète X – 1985)
Jean-Jacques Annaud, La Guerre du Feu, 1981
Ethan et Joel Coen, Inside Llewyn Davis, 2013.
Montage : Lucia
. Toxic Affair (janvier 2019)
. L’Écho des palais morts (août 2018)
– Lucrezia Borgia (maquette, 2007).
[Musique : Jonathan Capdevielle ; Paroles et voix française : Jean-Patrick Capdevielle.]
– Nosferatu à Venise, film de Mario Caiano et alii (1988), avec Klaus Kinski.
– Filippo Rossato, Eromachie. Giochi di lotta e d’amore (sculpture, 2007).
Iconographie et montage : Lucia.
(plus sur cette vidéo)
. Jamais le Dimanche (août 2018)
Jean-Patrick Capdevielle, Dimanche Treize (album Mauvaises Fréquentations, 1984)
Wim Wenders, Paris, Texas (1984)
Iconographie et montage : Lucia
(plus sur cette vidéo)
. L’Éternel Masculin (juillet 2018)
Jean-Patrick Capdevielle, Cellophane City (album Vue sur Cour, 1990).
Iconographie et montage : Lucia
La vidéo confronte l’éternel masculin de la beauté grecque antique – la danse des hommes nus de la pièce de théâtre Mount Olympus de Jan Fabre (2015) est une véritable ode au corps masculin érotique – avec le Japon moderne privé de sexe
(plus sur cette vidéo).
. Fantasmas (juillet 2018)
Jean-Patrick Capdevielle, Peur (album Vertigo, 1992)
Luis Buñuel, Le Fantôme de la Liberté, 1974
Iconographie et montage : Lucia
. Le Vaisseau fantôme (juin 2018)
Jean-Patrick Capdevielle, Fantôme de Fortune, 1992 (album Vertigo)
Iconographie et montage : Lucia
(plus sur cette vidéo)
. Eros et Thanatos (mars 2018)
Jean-Patrick Capdevielle, Ton monde est vieux, 1980 (Album 2/ ; CBS)
Iconographie et montage : Lucia
(plus sur cette vidéo)
. Five Years – La Naissance des saisons (juin 2017)
David Bowie, Five Years (Remastered Version, 2002)
Jean-Patrick Capdevielle, La Naissance des saisons, 2017
Iconographie et montage : Lucia
. Le Regard du Peintre (juin 2017)
Picasso érotique sur une chanson flamenco extraordinaire (Paco de Lucía à la guitare, Camarón au chant et García Lorca à l’écriture, pas moins) : Le top de l’Espagne et du flamenco !
On y retrouve notamment Picasso, son double le Minotaure (qui symbolise sa puissance sexuelle) et « Miss Fernande », la pin-up du photographe Jean Agélou, parfois confondue avec Fernande Olivier, son premier grand amour (quoique leurs morphologies semblent différentes).
Camarón de la Isla – Romance de la Luna – (album Calle Real, 1983) (plus sur cette vidéo)
. Hadès et Perséphone ou la Rédemption par l’amour (octobre 2016)
Ici, l’éromachie se joue entre Hadès, dieu des Enfers, et Perséphone, déesse des Enfers et du printemps.
La vidéo a également plusieurs autres niveaux de lecture.
Jean-Patrick Capdevielle – Un jour, je serai vivant – 2016
Iconographie et montage : Lucia
(Plus sur cette vidéo…)
. Tentacles of Love ad Death (septembre 2016)
C’est ma première vidéo dédiée au thème de l’éromachie. J’ai exploré la symbolique érotique (masculine, ici) de la pieuvre ; du poulpe bleu à six tentacules, notamment, que l’on rencontrait déjà sur une fresque crétoise – mais dans un autre contexte, certainement.
Lucrèce Borgia – 2007
. Medusa ou la mauvaise Rencontre (septembre 2016)
De nouveau sur le thème de la Méduse, en femme fatale, cette fois (mais vraiment… fatale). C’est aussi l’histoire d’un homme, un gros cochon en version élégante, qui aime se faire promener.
Ferra Ventura (Cruelle Aventure), Atylantos, 2001Publicado por Atylantos – Une légende de l'Atlantide em Sexta, 30 de setembro de 2016
Ferra Ventura – Atylantos, 2001 (Opéra Rock) [Plus sur cette vidéo]
Chanté par Elena Cojocaru et Nikola Todorovich
Paroles et musique : Jean-Patrick Capdevielle
. Pleure pas Marie (décembre 2015)
Sur des images de Paris, Texas (1984).
« Pleure pas, Marie » est une version antérieure à « Gâche pas ta Nuit » (Album /2, 1980). Elle n’a existé que sur scène, pendant la tournée du printemps 1980. Je l’ai toujours préférée à la version studio – pour son intensité et la force des paroles et de l’interprétation. C’est une histoire d’amour éperdu qui semble préfigurer celle de Paris, Texas.
… Et d’autres vidéos encore sur Viméo :
https://vimeo.com/eromakia
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Dans le crépuscule fané
Où plusieurs amours se bousculent
Ton souvenir gît enchaîné
Loin de nos ombres qui reculent
(Guillaume Apollinaire, Vitam impendere amori, 1917)
Super Blog ! 😀
Bravo! belles vidéos!
magnifique !
Jean Patrick est un prêtre un grand artiste un peu caché dans la retenue …..et le symbolisme……en 1980 il a fait le bonheur de beaucoup de personnes et a continué à ravir et séduire en détournant les paroles de leur sens premier .Moi je l’adore depuis 40 ans .Bref bravo à ce grand monsieur .!!!! …… Et merci d’être vivant .