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 ~ EROMAKIA ~

Art, Love and Fight Chronicles

Éromachies. Le terme n’existant pas en français, je vais donc m’en attribuer la paternité ! Composé de deux radicaux grecs (eros et makheia), il signifie étymologiquement « lutte de l’amour », « lutte des désirs » ou « lutte des désirs amoureux ». Il a été utilisé  en italien par Filippo Rossato, auteur d’une série de sculptures en bronze et céramique (2007), dans le sens de « jeux de lutte et d’amour » :

Filippo Rossato, Eromachie. Giochi di lotta e d’amore (2007)  (= Éromachies. Jeux de lutte et d’amour) – Cliquer pour agrandir

J’ai choisi de développer ce concept en lui donnant une acception supplémentaire, en lien avec les développements de ce site :

Qu’est-ce que l’eromakia et pourquoi ce nom ? La réponse est ici :

Eromakia (Varia)

  • Sur ce site, je me propose d’explorer ce concept de deux manières :

– À travers une critique féroce du néo-féminisme, la forme actuelle et dévoyée du féminisme, égaré dans une désolante guerre des sexes – sauf si c’est un « racisé »/migrant/islamiste (rayer la mention inutile). Car il y a deux classes d’hommes pour les  nouvelles féministes : les bons « racisés » (« des opprimés comme nous ») et les mauvais blancs hétérosexuels (« tous des violicideurs et des féminicideurs en puissance »).
Ce combat contre le féminisme et sa lecture binaire du monde (« Nous tou.s.te.s contre le patriarcat blanc ») est devenu pour moi prioritairement un combat contre la bêtise ; une bêtise épaisse, collante et qui métastase à grande vitesse dans tous les domaines (car plus une pensée est idiote et simpliste, plus elle a du succès), inaccessible à toute forme d’esprit, d’humour, d’art, d’histoire, de culture, de poésie, d’humanisme, en bref à tout ce qui grandit l’homme. Que les médias se soient pour les trois-quarts couchés devant cette indigence intellectuelle n’est pas pour surprendre. Mais que l’université s’abîme chaque jour davantage dans ce marécage idéologique et fasse honte à tous ceux qui la prenaient au sérieux est une chose qui ne peut laisser sans réaction. Chacune des pages de ce site apportera donc son illustration à cet aphorisme de mon cru : « Là où le féminisme passe, l’intelligence trépasse ».

– À travers quelques explorations artistiques et iconographiques personnelles sur le thème de l’éromachie.

  • Les dernières publications sur le site sont annoncées ici ainsi que la liste des articles consacrés à la dénonciation du féminisme :

Nouveautés sur le site

Bonne visite ! 😉

Vous pouvez laisser des commentaires online ou par mail : eromakia.fr@gmail.com

Image de couverture :  « #Balance ton porc » ? Non, merci !

Ferdinand Rops, Pornokratès, 1878 (pastel, gouache et aquarelle sur papier ; Namur, Musée Provincial Félicien Rops).

« Balance ton porc » ? Non, merci ! Félicien Rops, Pornokratès (La Dame au cochon), 1878

. Citation favorite :

« Il faut que je me réjouisse au-dessus du temps, dans l’amour, bien que le monde ait horreur de ma joie et que sa grossièreté ne sache pas ce que je veux dire »
(Ruysbroeck l’Admirable, De ornatu spiritalium nuptiarum, vers 1330).